La liberté nous est acquise par l'acceptation volontaire d'un système d'obligations et de contraintes, fictives mais tyranniques, faites de rigueur et de sensibilité
- où l'espace n'est plus un lieu préexistant,
- où tous les possibles sont possibles,
- où les dialectiques se jouent au niveau de leur temps réel, celui où leur troisième terme apparaît,
- où les pratiques sont multiples, et déterminantes les valeurs du groupe qu'elles ordonnent,
- où le niveau des relations, et mieux encore du champ des relations, implique le domaine de l'Ensemble avec son passé, son présent, son futur, ses rangs, ses hiérarchies, ses voisinages,
- où la moindre altération de ces paramètres transforme irrémédiablement le contenu de l’œuvre,
- où l'interpénétration d'espaces discrets dimensionnellement variables déclenche des transformations continues allant de l'intérieur à l'extérieur, du conjugué au non conjugué, de la profondeur à la surface.
C’est dans la contrainte d’une dialectique qui ne cesse d’effacer sa trace que les éléments objectifs et intuitifs s’affrontent, se résolvent et se fixent aux limites du possible
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